Les 2 problèmes majeurs des véhicules électriques, corrigés par 1 groupe motopropulseur
Entrez votre adresse e-mail pour découvrir comment diviser par 2 l’impact environnemental de votre véhicule électrique – tout en se rapprochant des performances d’un véhicule thermique.
+3 000 personnes déjà inscrites.
Les 2 problèmes majeurs de nos véhicules électriques légers ne sont ni l’autonomie, ni les performances
Non — car les 2 problèmes majeurs de nos scooters, motos et voitures électriques ne sont pas visibles à l’œil nu : ils se trouvent dans l’impact social & environnemental des batteries et des moteurs qui les équipent.
La production des batteries compte en effet pour un peu moins de 50% des émissions de gaz à effet de serre produites au cours de la fabrication des véhicules électriques.
Par exemple, la production d’une batterie de moto électrique émet jusqu’à 1 612 kg d’équivalent CO2 – autant que ce que rejette une équivalente thermique pendant 10 530 km.
Les moteurs, eux, cachent un autre problème : celui des terres rares.
Leur production est subtilisée à 58% par la Chine, leur exploitation participe dangereusement à l’acidification des océans, et leur extraction est particulièrement toxique pour les ouvriers. Et malheureusement, tous les moteurs que vous retrouvez dans les véhicules électriques contiennent des terres rares.
Tous… sauf 2.
Avec l’aide de notre association, nous avons conçu un bloc motopropulseur capable de résoudre ces 2 problèmes majeurs.
Il ne sera pas le plus performant — notre moteur transmettra un couple de démarrage à faire pâlir la plus vive des Kawasaki, mais côté vitesse de pointe, il se fera rattraper tôt ou tard.
Il ne proposera pas non plus la plus grande autonomie — notre batterie sera parfaite pour les trajets quotidiens et les sorties du week-end, mais elle ne vous emmènera jamais aussi loin qu’une Tesla.
Par contre, ce groupe motopropulseur sera plus écologique que n’importe quelle nouvelle voiture, n’importe quel nouveau scooter, ou même n’importe quel véhicule léger — qu’il soit électrique ou thermique. Et ce, quelle que soit la technologie qui équipe ces véhicules.
Voilà comment nous avons fait.
Julien Vaïssette, ingénieur en mécanique
“Fix the battery problem”
✘ Jusqu’à 1 612 kgCO2eq d’émissions de gaz à effet de serre pour la production d’une batterie de moto électrique.
✔️ 0 kg eqCO2 pour la production de notre batterie = 750 kg d’équivalent CO2 économisés en moyenne.
Notre bloc motopropulseur est équipé d’une batterie de 10 kWh entièrement réutilisée — et nous sommes les tous premiers à le faire.
Pour ça, nous avons reçu l’aide d’un partenaire de poids : Indra Automobile Recycling, nul autre que le 1er acteur de l’économie circulaire automobile en France.
Le métier d’Indra Automobile Recycling, c’est de récupérer des véhicules, d’en recycler les matières et de revaloriser les composants réutilisables. Comme de l’upcycling, mais pour l’automobile.
Ils récupèrent pour nous des batteries de Renault Zoé, pour en tester l’autonomie et décider si — oui ou non — elles viendront équiper notre GMP.
Nous avons ainsi le meilleur des 2 mondes :
- D’un côté, une batterie qui ne rejette pas 1 seul gramme d’équivalent CO2 (puisqu’elle est entièrement réutilisée)
- De l’autre, un véhicule est équipée d’une batterie conçue pour propulser n’importe quel scooter, moto ou voiture légère sur plus de 150 km
Le moteur d’une Tesla entre les jambes
✘ Jusqu’à plusieurs centaines de grammes de terres rares dans le moteur.
✔️ 0 g de terres rares dans notre moteur à induction = 661 gr de terres rares économisées.
Le groupe motopropulseur d’Ambre est propulsé par le moteur inventé par Nikola Tesla : un moteur à induction, d’une puissance en pic de 15 kW.
C’est une technologie de moteur que vous connaissez bien : le moteur à induction équipe une grande partie des voitures électriques de Tesla. Mais on ne le trouve sur aucun scooter, moto ou voiture légère du marché. À nouveau, notre groupe motopropulseur est le premier.
Et là encore, difficile de trouver meilleur compromis :
- Il fournira à votre scooter ou votre moto un couple dans la roue équivalente à celui d’une Yamaha MT-03 dans un usage normal
- Il est construit non loin d’ici, chez un fabricant allemand du nom de Mahle (on évite ainsi de faire venir un moteur de l’autre bout du monde)
- Et il ne contient pas 1 gramme de néodyme, ni 1 gramme de n’importe quelle terre rare
Des performances qui, peu à peu, se rapprochent des véhicules thermiques
- Puissance moteur maximale :
15 kW - Puissance moteur nominale (à 90 minutes) :
5 kW - Couple moteur :
80 Nm - Vitesse maximale :
135 km/h - Poids :
160 kg - Capacité batterie utile :
10 kWh - Autonomie en combiné réel :
150 km - Autonomie en ville :
200 km - Temps de recharge :
2 heures
Évidemment, avec des choix de composants si radicaux, notre bloc motopropulseur ne conviendra pas à tous les véhicules.
Par exemple, si vous êtes un amoureux des longs voyages en moto sur les routes de Corse, ce GMP n’est pas pour vous. Votre bonheur se trouvera plutôt du côté d’une batterie capable de supporter l’autonomie d’une Road King de chez Harley.
À l’inverse, si vous souhaitez concevoir un véhicule pour rentrer du bureau le soir et partir en week-end le lendemain matin, inscrivez votre adresse e-mail en bas de cette page.
Car ce bloc motopropulseur a été conçue pour les 2-roues polyvalents, les tricycles utilitaires, les quadricycles légers — et ceux qui les utilisent : les navetteurs, les travailleurs, les métropolitains.
Des véhicules capables d’effectuer les aller-retours journaliers et les virées à la campagne du week-end — en rejetant 89% de gaz à effet de serre en moins.
Julien Vaïssette, ingénieur en mécanique
Créez un véhicule électrique exemplaire sur le plan environnemental
Entrez votre adresse e-mail pour découvrir comment diviser par 2 l’impact environnemental de votre véhicule électrique – tout en se rapprochant des performances d’un véhicule thermique.
+3 000 personnes déjà inscrites.